Soldat de 2ème classe au 363ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 19 novembre 1914 aux environs de Senones (Vosges).
Soldat de 2ème classe au 363ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 1 novembre 1914 à Senones (Vosges).
Soldat de 2ème classe au 17ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 10 mai 1915 à Notre-Dame-de-Lorette sur la commune de Souchez (Pas-de-Calais).
Soldat de 2ème classe au 163ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 15 décembre 1914 à Lamberertryde (Belgique).
Soldat de 2ème classe au 294ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 3 octobre 1916 à Morval (Somme).
Aspirant surnuméraire des Postes, il est incorporé le 6 octobre 1906 au 17ème Bataillon d'Artillerie à Pied.
Le 25 septembre 1908 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 2 août 1914.
Le 1 avril 1916 il passe au 7ème Régiment d'Artillerie à Pied.
Le 1 août 1917 il passe au 74ème Régiment d'Artillerie Lourde de Grande Portée.
Il est cité à l'ordre du régiment : "Très bon soldat, très dévoué, très énergique. A assuré le service de téléphonie et la réparation des lignes du 7 septembre au 7 octobre 1918 dans le Bois de Mertzwiller sous un violent bombardement - Croix de Guerre".
Il décède des suites d'une maladie le 20 février 1919 à l'hôpital militaire de Marseille (Bouches-du-Rhône).
Soldat au 7ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est tué au combat le 24 août 1916 à Maurepas (Somme).
Soldat au 7ème Régiment d'Infanterie Coloniale, il est tué à l'ennemi le 11 décembre 1914 à La Harazée sur la commune de Vienne-le-Château (Marne).
Fils de Dransin Boyer et de Gabrielle Marie Armand, il est né le 15 juin 1885 à Varages.
Coiffeur il est ajourné en 1906.
Le 7 octobre 1907 il est incorporé dans le 58ème Régiment d'Infanterie.
Le 25 septembre 1909 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le
4 août 1914.
Il passe au Régiment d'Infanterie d'Avignon, puis de Toulon.
Le 15 juillet 1915 il est blessé par balle dans la région dorsale, à 9h du soir à Bois le Prêtre.
Il est cité : "Solat d'une conduite exemplaire. Belle attitude au feu. Blessé le 15 juillet 1915 en plaçant des fils de fer à proximité des tranchées ennemies" - Signé : Joffre.
Il est cité le 11 décembre 1919 à l'ordre du régiment : "Sur le front depuis le début. A fait constamment son devoir et son service dans les combats et dans les tranchées de 1ère ligne ayant ainsi donné le plus bel exemple d'un courage remarquable, d'une endurance extraordinaire et d'une énergie incomparable". Signé : le Colonel Carlier, commandant le 112ème Régiment d'Infanterie.
Il est titulaire de la Croix de Guerre avec palme.
Maître ouvrier au 71ème Régiment d'Artillerie Lourde, il est tué à l'ennemi le 11 avril 1918 dans la forêt de l'Aigle ou nord-ouest de Montmarcq (Oise).
Il est incorporé le 8 octobre 1912 au 111ème Régiment d'Infanterie.
Le 15 avril 1913 il passe au 173ème Régiment d'Infanterie
Il est porté disparu à la suite d'une offensive le 4 mai 1915 dans le bois de Loclont à Vaux-lès-Palameix, dans le secteur Les Eparges (Meuse).
Fils de Barthélémy Marius Coste et de Marie Gontier, il est né le 1886 à Marseille.
Cultivateur à Varages, il s'engage le 17 novembre 1915 à la mairie de Marseille, pour trois ans, au 3ème Régiment d'Infanterie.
Le 18 mai 1906 il est promu Caporal.
Le 9 janvier 1907 il est promu Sergent.
Le 25 septembre 1908 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale il se présente au corps le 4 août 1914.
Il est incorporé au Régiment d'Infanterie de Nice.
Le 15 septembre 1914 il part aux armées.
Le 16 juin 1915 il est blessé par un éclat d'obus à la jambre droite, à la côte 653 près de Sénones (Vosges).
Le 15 mai 1916 il est admis élève aspirant.
Le 10 septembre 1916 il est promu aspirant.
Le 28 mai 1917 il est cité à l'ordre du Régiment et décoré de la Croix de Guerre avec Etoile de Bronze.
Il est fait prisonnier le 19 août 1917 en Champagne. Il est interné à Grafenwöhr (Bavière).
Il est rapatrié le 13 janvier 1919.
Le 28 février 1919 il passe au 141ème Régiment d'Infanterie.
Il est démobilisé le 21 mars 1919.
Fils de Jules Marius Fidèle et de Marie Salomone, il est né le 21 novembre 1896 à Varages.
Cultivateur il est incorporé le 10 avril 1915 au
22ème Régiment d'Infanterie Coloniale.
Le 14 octobre 1916 il passe au 53ème
Régiment d'Infanterie Coloniale.
Le 15 mai 1917 il est cité à l'ordre du 53ème Colonial : "Du 16 au 19 avril 1917, après s'être porté courageusement à l'assaut des lignes allemandes, a gardé son poste de combat et assuré la défense du terrain conquis sous les feux meurtiers des mitrailleuses et un bombardement d'une extrême violence."
Le 30 août 1917
il passe au
22ème Régiment d'Infanterie Coloniale.
Le 17 novembre 1917 il passe
au 1er Régiment d'Infanterie Coloniale.
Il est tué à l'ennemi le 14 septembre 1918 devant Kravitza (Serbie).
Le 10 novembre 1918 il est cité à l'ordre du
1er Régiment d'Infanterie Coloniale : "S'est montré un des plus braves parmi les braves le 14 septembre 1918, en brisant la résistance des Bulgares, qui a valu au régiment sa deuxième citation à l'ordre de l'armée. Mort au champ d'honneur au cours de l'action ".
Il est titulaire de la Croix de Guerre avec deux étoiles de bronze.
Soldat au 161ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 28 août 1917 au poste de secours de Beaumont (Meuse).
Soldat au 64ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est tué à l'ennemi le 25 septembre 1914 à Bary (Aisne).
Soldat au 363ème Régiment d'Infanterie, il est mort des suites de ses blessures de guerre le 2 octobre 1914 à l'hôpital d'Etival (Vosges).
Cultivateur, il est incorporé le 9 octobre 1906 au 111ème Régiment d'Infanterie.
Le 4 février 1908 il passe au 4ème Escadron du Train des Equipages Militaires.
Le 31 juillet 1908 il passe au 111ème Régiment d'Infanterie.
Rappelé lors de la mobilisation générale il se présente au corps le 4 août 1914.
Il passe au 163ème Régiment d'Infanterie
Il est tué à l'ennemi le 6 avril 1915 à Flirey (Meurthe-et-Moselle).
Il est né le 4 novembre 1871 à Varages.
Médecin-major de 1ère classe au 36ème Régiment d'Infanterie Coloniale, il est tué à l'ennemi le 14 août 1916 à Marcelcave-les-Buttes (Somme).
Il est titulaire de la Légion d'Honneur et de la médaille militaire.
Il est incorporé le 8 octobre 1913 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 6 janvier 1914 il passe au 7ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Iil est tué au combat le 1 février 1915 sur le Hartmannswillerkopf (Alsace).
Cocher, il est incorporé le 1 octobre 1906 au 111ème Régiment d'Infanterie. Il est nommé Tambour le 29 septembre 1907. Le 25 septembre 1908 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale il se présente au corps le 2 août 1914.
Il passe au Régiment d'Infanterie de Toulon puis de Nice.
Il est blessé à la jambe droite par un éclat d'obus le 16 août 1917 au Chemin des Dames. Il est évacué.
Il remonte aux armées le 28 août 1918.
Il est démobilisé le 14 mars 1919.
Soldat au 232ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 21 septembre 1918 à Vauxaillon (Aisne).
Charcutier à Varages, il est incorporé le 7 octobre 1907 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied. Il est renvoyé dans ses foyers le 25 septembre 1909.
Rappelé lors de la mobilisation générale il se présente au corps le 4 août 1914.
Il est fait prisonnier le 28 août 1914 à Peronne. Il est interné à Senne.
Le 8 mars 1917 il passe au 141ème Régiment d'Infanterie.
Le 24 décembre 1918 il est rapatrié à Dunkerque.
Il est démobilisé le 15 mars 1919. Il se retire à Marseille.
Le 6 juin 1919 il décède en rade de Djibouti à bord du vapeur "Sphinx".
Soldat au 112ème Régiment d'Infanterie, il est mort des suites de maladie le 19 janvier 1919 à Varages.
Soldat au 33ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 10 juin 1916 à Glennes (Aisne).
Faïencier, il est incorporé au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied le 6 octobre 1909. Il est renvoyé dans ses foyers le 24 septembre 1911.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Il est tué à l'ennemi le 27 décembre 1914 à Carency (Pas-de-Calais).
Soldat au 2ème Régiment de Marche des Zouaves, il est tué à l'ennemi, le 25 septembre 1915 à Saint-Hilaire-le-Grand (Marne).
Soldat au 363ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi, le 1 octobre 1914 à La Poterosse (Vosges).
Sous-lieutenant au 94ème Régiment d'Infanterie, il est disparu au combat le 25 septembre 1915 à Auberive-Saint-Hilaire-le-Grand (Marne).
Il est titulaire de la Croix de Guerre.
Boucher, il est incorporé le 5 septembre 1914 au 112ème Régiment d'Infanterie.
Le 23 mars 1915 il passe au 113ème Régiment d'Infanterie
Il est tué à l'ennemi le 12 mai 1915 à La Haute-Chevauchée (Meuse).
Soldat au 34ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 17 septembre 1918 à Vauxaillon (Aisne).
Soldat au 414ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 29 avril 1918 à Locre (Belgique).
Il est né le 15 juin 1885 à Varages.
Incorporé au
58ème Régiment d'Infanterie le 7 octobre 1907, il est renvoyé dans ses foyers le 25 septembre 1909.
Il est rappelé le 3 août 1914
au 312ème Régiment d'Infanterie
Il est porté disparu le 7 septembre 1914 à Beauzée-sur-Aire (Meuse).
On lui a accordé la Médaille Militaire à titre posthume.
Faïencier, il est incorporé le 1 octobre 1911 au 3ème Régiment d'Infanterie. Il est renvoyé dans ses foyers le 8 novembre 1913.
Rappelé pour la mobilisation générale, il se présente au corps le 3 août 1914.
Le 20 août 1914 il est fait prisonnier à Dieuze.
Il est interné à Puchheim.
Il est rapatrié le 28 décembre 1918.
Le 15 mars 1919 il passe au 7ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 17 avril 1919 il est affecté à la 15ème Section d'Infirmiers.
Le 6 août 1919 il est démobilisé.
Soldat au Régiment d'Infanterie Coloniale du Maroc, il est mort des suites de ses blessures le 5 mai 1916 à Le Mans (Sarthe).
Cultivateur, il est incorporé le 2 octobre 1907 au 3ème Régiment de Chasseurs d'Afrique. Le 28 septembre 1909 il est renvoyé dans ses foyers.
Il effectue la campagne d'Algérie du 5 octobre 1907 au 28 septembre 1909.
Il est affecté au Régiment de Cavalerie légère de Marseille.
Rappelé lors de la mobilisation générale il se présente au corps en août 1914.
Le 9 juin 1916 il passe au 11ème Régiment de Cuirassiers.
Il est fait prisonnier le 9 juin 1918 à Plessis de Roye (Oise). Il est interné à Soltau (Basse-Saxe).
Il est rapatrié le 15 janvier 1919.
Il est démobilisé le 2 avril 1919.